A l'instant même où la lame a brisé mes veines,J'ai su en te regardant,Que ta vie ne serait plus comme avant.Tes larmes coulaient comme ma vie qui s'échappait.J'étais libérée, mais mon geste j'ai regretté,A l'instant même où je te vis prendre la lame,Disant que tu voulais me retrouver.Aujourd'hui, bien que dans la mort nous soyons réunis,Je regrette terriblement d'avoir brisé nos vies...
Un baiser sur la main, signe de RESPECT!
Un baiser dans le cou, signe de PASSION!
Après plus d'un demi-siècle de mariage, monsieur meurt.
On ne pouvait dire mieux!! bonne lecture!
Q ue c'est joliment dit !!! Logement à louer Voici une façon élégante de dire les choses... C'est un homme d'affaires qui fait la rencontre d'une très belle femme. Après quelques heures, ils conviennent de passer la nuit ensemble moyennant un montant de 500 Euros que Monsieur versera à Madame. Au petit matin, l'homme d'affaires dit à la très belle femme qu'il n'a pas d'argent sur lui mais que sa secrétaire lui enverra un chèque de 500 Euros pour " location de logement". Sur le chemin du retour, l'homme d'affaires regrette et estime que ça ne valait pas le coût finalement. Lorsqu'il arrive à son bureau, il demande donc à sa secrétaire d'envoyer un chèque de 250 EUROS à la dame avec le message suivant : Madame, Veuillez trouver ci-joint un chèque de 250 Euros pour la location de votre appartement. Je n'ai pas envoyé le montant convenu parce qu'en louant votre logement je croyais qu'il n'avait jamais été occupé, qu'il était chauffé et qu'il était assez petit pour m'y sentir chez-moi. Malheureusement j'ai découvert qu'il avait déjà été occupé, qu'il n'avait pas de chauffage et qu'il était trop grand. Sur réception de cette note, la femme lui renvoya le chèque avec le message suivant :CherMonsieur, Comment avez vous pu penser qu'un si bel appartement puisse rester vacant jusqu'à votre arrivée ? En ce qui concerne le chauffage, il n'en manque pas, il vous suffisait de l'allumer. Enfin, pour ce qui est de l'espace loué, je vous assure qu'il n'est pas plus grand qu'ailleurs : ne blâmez donc pas la propriétaire si vous n'avez pas assez de mobilier pour le meubler."
Il n'y a rien à dire appart qu'il existe sur terre des humains... sans coeur mais qui vivent très bien...
J'ai appris àvivre quand t'es rentré dans ma vie,Tu lisais en moi comme dans un livre si biencrit, Tu avais toujoursles bons mots,Mais peutêtre était-ce encore trop tôt... Quoi qu'il en soit je voudrai te diremerci, D'avoir donné un sensma vie. Car je ne sais pas si un jour t'auras compris... Maisdans mon cœur t'as une place inouïe... Et jeme demande encore qui j'aurai été, Si tu n'avais pas été là pour me guider,Mais tu me restes ici... Dans mon cœur, dans mon esprit... Devrais-je croire qu'un jour tu me reviendras ? Devrais-je espérer que ce jour arrivera ? Qu'est-ce qu'il s'est passé, Peut être était-ce trop tôt... Pour qu'aujourd'hui tout soit cassé, C'était surement trop tôt... Depuis je n'sais plus ouj'en suis, Détruite par la nostalgie...
Ce jour là il faisait si froid,Je sentais le vent s'abattre sur moi,Pourtant je ne tremblais pas,J'étais debout, figé là,A te regarder,En train de t'éloigner,En train d'emporter une partie de mon cœur,Un peu plus loin d'heure en heure,Et moi je te regardais, Sachant que cette partie ne me reviendrait jamais,Je te regardais partir,Sans même intervenir,Je te regardais me tuer,Sans peur ni pitié,Tu ne savais pas que je t'aimais autant,Tu ne pensais pas que je pleurerai tant,Tu n'as jamais su que sans toi je n'existais plus,Tu n'as jamais cru que loin de toi j'étais perdu,Mais pourtant j'aurai donné ma vie pour toi,J'aurai pu mourir crois moi,Parce que sans toi rien ne me relève,Parce qu'avec toi je vis un rêve...
sansglace.
C'est un Arabe fraîchement arrivé en Belgique qui se présente à l'Immigration.- Bijour m'dame ji cherche di travail, t'as quoi à M'proposer ?Après recherche la femme de l'immigration lui annonce : - Je peux vous proposer une place d'éboueur à la ville.- Iboueur, mais c'est sale comme travail, ipi y faut si liver tôt. Non donne moi aut'chose.
Ça se passe dans un village qui vit du tourisme, sauf qu'à cause de la crise il n'y a plus de touriste.Tout le monde emprunte à tout le monde pour survivre.Plusieurs mois passent, misérables.Arrive enfin un touriste qui prend une chambre.Il la paie avec un billet de 100 €.Le touriste n'est pas plutôt monté dans sa chambre que l'hôtelier court porter le billet chez le boucher, à qui il doit justement cent euros.Le boucher va aussitôt porter le même billet au paysan qui l'approvisionne en viande.Le paysan, à son tour, se dépêche d'aller payer sa dette à la prostituée à laquelle il doit quelques passes.La prostituée boucle la boucle en se rendant à l'hôtel pour rembourser l'hôtelier qu'elle ne payait plus quand elle prenait une chambre à l'heure.Comme elle dépose le billet de 100 € sur le comptoir, le touriste, qui venait dire à l'hôtelier qu'il n'aimait pas sa chambre et n'en voulait plus, ramasse son billet et disparaît.Rien n'a été dépensé, ni gagné, ni perdu.N'empêche que plus personne dans le village n'a de dettes.N'est-ce pas ainsi qu'on est en train de résoudre la crise mondiale ?Bonne méditation !